FireAngel annonce une collaboration avec le bailleur social OPHIS pour le déploiement de plus de 13 000 détecteurs de fumée

FireAngel, fabricant de solutions de sécurité incendie de pointe, officialise une collaboration avec l’OPHIS, Office public départemental HLM basé à Clermont-Ferrand. Signé à l’occasion du salon H’expo, le contrat, issu d’un appel d’offre, officialise le renouvellement de 13 645 détecteurs autonomes avertisseurs de fumée (DAAF) au sein du parc de logements administrés par l’OPHIS. Avec le soutien de QSBAIL, partenaire de FireAngel en France, les deux entreprises entendent ainsi encourager une action coordonnée pour lutter efficacement contre les incendies domestiques.

« Ce projet n’aurait pas été possible sans l’apport de QSBAIL dont la connaissance profonde de l’écosystème du logement social nous permet de parfaitement saisir les besoins spécifiques des bailleurs », précise Véronique Vasquez, responsable marketing Europe de FireAngel.

Renforcer la sécurité et le confort au sein des logements de l’OPHIS

Outre le renouvellement des détecteurs de fumée, FireAngel assurera la fourniture de kits à destination des Personnes à Mobilité Réduite (PMR) au sein des logements gérés par le bailleur social opérant en Auvergne. Les dispositifs seront intégralement déployés – en trois à quatre vagues progressives – à l’horizon 2026. Une organisation qui permet de lisser la charge pour le bailleur qui en gère la pose, d’assurer la continuité de service et de sécuriser la gestion logistique et le SAV.

« L’OPHIS n’est pas qu’un simple gestionnaire de logements : c’est un acteur engagé qui place la sécurité et le confort des habitants au cœur de son action. Cette vision responsable a trouvé en FireAngel et QSBAIL des partenaires de confiance », explique Philippe Brunet-Debaines, Directeur Général de l’OPHIS.

Les dispositifs de FireAngel garantiront une sécurité incendie optimale à tous les clients de l’OPHIS. En effet, homologués NF, les DAAF présentent une grande robustesse pour une fiabilité à toute épreuve. Quant aux kits PMR, ils sont particulièrement adaptés pour les publics vieillissants ou porteurs d’un handicap (auditif, par exemple) : ils sont équipés d’un coussin vibrant que l’on peut placer sous l’oreiller et d’un stroboscope envoyant des signaux lumineux.

« Notre force, c’est la proximité », explique Véronique Vasquez. « Une proximité technologique, avec des solutions simples d’usage, fiables et durables ; opérationnelle, grâce à une équipe en France dédiée aux bailleurs sociaux ; mais aussi humaine, en écoutant les retours des locataires, en testant nos produits sur le terrain et en améliorant en permanence nos solutions ».

Ouvrir la voie à un renouvellement efficace des détecteurs de fumée pour les bailleurs sociaux

À travers leur collaboration, FireAngel et l’OPHIS entendent construire un modèle de logement social plus sûr. Les deux entreprises affichent en outre leur volonté d’encourager les bailleurs vers une gestion optimisée des DAAF au sein de leur parc de logements. Et pour cause, dix ans après la mise en application de la loi Alur – rendant obligatoire le déploiement de détecteurs de fumée dans l’ensemble des logements en France -, une grande partie des dispositifs atteignent leur durée de vie recommandée.

Dès lors, un travail de sensibilisation et une orchestration de leur renouvellement semblent primordiaux : faute d’action coordonnée, de nombreux logements seront bientôt équipés de DAAF défectueux ou périmés, donnant une fausse impression de conformité.

Pour pallier ce risque critique pour les bailleurs sociaux, la standardisation des équipements – via l’adoption de modèles certifiés NF et répondant aux normes établies – permet de garantir un niveau homogène de sécurité, et d’en simplifier la maintenance et le renouvellement.

Cette standardisation doit s’accompagner d’une traçabilité rigoureuse : identifier les dates d’installation, programmer les renouvellements, archiver les données. À cet égard, des systèmes de marquage, de QR codes ou d’applications de gestion locative doivent être intégrés à la stratégie patrimoniale.

« Comme tout équipement de sécurité, le DAAF doit être entretenu, renouvelé et documenté. Entre contrainte réglementaire et impératif opérationnel, l’enjeu n’est plus seulement technique, mais aussi et surtout organisationnel. Il revient donc aujourd’hui aux bailleurs de prendre l’initiative, de renouveler, tracer et contrôler… et nous sommes là pour les accompagner », conclut Véronique Vasquez.